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Témoignages

Des rencontres inattendues

« J’ai connu Sandrine en 2011, on s’étaient croisées au détour d’un concert sur lequel je chantais, elle en faisait les photos. J’ai découvert et aimé immédiatement son ‘œil’ photographique » (Sam Neves).

 

« Quand j’ai vu ce stand au casino de Bonsecours, j’ai été intriguée et le ‘challenge’ m’a tout de suite tenté. Sandrine nous parle avec une telle passion de son projet que j’ai décidé, moi, de franchir le cap, et je n’ai pas été déçue. Sandrine sait nous mettre à l’aise et capter le meilleur de nous même » (Géraldine Rioult).

 

« J’ai à l’époque beaucoup de mal à m’exposer devant l’objectif et très peur de ce que je vais pouvoir renvoyer alors que je suis artiste et que je suis amené à m’afficher. Une relation en commun me propose de participer au travail de Sandrine, tout va vite et quelques heures après je suis devant ELLE avec le sentiment que je la connais déjà, je la sens sincère et passionnée, je me retrouve dans son projet » (Paul Merci).

 

Une expérience inoubliable

« Une expérience troublante. Se laisser fouiller dans les recoins les plus secrets de son âme » (Frantz Fagot)

 

« Il était intéressant de mettre à nu et à la vue de tous les marques invisibles que la vie vous grave à l’intérieur du corps et que l’on porte tous au fil des ans en faisant croire que cela n’a pas d’impact sur notre façon ‘d’être’ et notre comportement vis-à-vis des ‘autres’. Laisser libre court à ce ‘dessin’ que l’on a tous en nous et le laisser s’exprimer sans calcul » (Mark Scotto).

 

« Les règles du jeu établies, je me retrouve devant le miroir et me lance, ce sera peut être la seule fois de ma vie où je pourrais me montrer telle que je suis … A trois je relève la tête et plonge mon âme dans tes yeux numériques, fière d’être moi ! » (Angélique Duprouilh).

 

« Mais … je fais quoi de tout ce noir, je me déguise en quoi … ? et puis devant le charbon, le miroir, une petite voix me dit ‘ton émotion là, ce que tu ressens, le présent’ » (Esther Sarlet).

 

Des personnalités dévoilées

« Ce moment photographique en close up, s’il est libérateur, joue le rôle de révélateur. Au-delà du simple fait de savoir ‘jouer le jeu’ du dessin rituellement et à la craie sur notre visage, un autre soi jaillit qui se réveille en nous : un ‘alter’ pourtant si proche mais un étranger aussi que l’on ne peut (ou ne veut) pas montrer au sein d’une société toujours en mouvement mais fortement ancrée par ses codes et définie par ses normes, le plus souvent conservatrices » (Safia Bouadan).

 

« Je suis entière, brute, sauvage. J’émets un cri sans pouvoir contrôler. Un cri de rage, d’envie, d’énergie. L’œil et l’objectif de Sandrine saisissent l’instant et l’expression. (…) Sandrine a raison : l’être et l’instant nous dévoilent dans notre sincérité. Elle ne juge pas mais elle est là. Ce fut un moment fort, à la fois déroutant et salvateur » (Fanny).

 

Un sens retrouvé

« Je pensais connaître la profondeur du regard de mon fils, et tu me l’as fait découvrir. Je pensais connaître ma dualité, et c’est toi qui m’as poussée à mieux la révéler. Un court passage devant ton objectif, une introspection expresse. Une rencontre avec toi, bien sûr, mais surtout une rencontre avec soi… » (Sauvane Delanoe).

 

« J’étais à un tournant important de ma vie, cette séance m’a permis de révéler mon ressenti » (Christine Degryse).

 

« Je n’ai pas hésite une seule seconde, se mettre à nue pour moi il n’y avait que ce mot là qui pouvait coller en me regardant : ‘résilience’ … (…) cela me permet de rester maintenant forte, de me relever après chaque obstacle de ma vie » (Marlène d’Arnaud).

 

 « J’ai vu sur cette photo en noir et blanc que j’étais devenue une jeune gemme forte, empreinte de douleurs mais debout, droite et fière d’avoir un passé. (…) Merci de prouver au monde que le cœur est bel et bien extensible à l’infini et qu’il ne connaît qu’une limite : celle qu’on lui impose » (Céline Guy).  

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